Vaccination obligatoire des enfants : un médecin explique comment les éviter

Depuis 2018, onze vaccins sont exigés pour l’entrée en collectivité (crèche, école), sur les réseaux sociaux, certains médecins ou militants partagent leurs “méthodes” pour contourner cette obligation.
Sur X (ex-Twitter), un médecin connu sous le pseudonyme Docteur Hippocrate a publié un guide détaillant, selon lui, comment les parents peuvent éviter les injections obligatoires pour leurs enfants.
Il évoque notamment la demande d’un “bilan de santé” préalable à la Sécurité sociale et la délivrance de certificats médicaux temporaires.
Le praticien met en avant des inquiétudes concernant les adjuvants (comme l’aluminium), dont il conteste la sécurité.
Ces arguments sont régulièrement repris par des mouvements opposés à la vaccination, bien que les autorités sanitaires rappellent que les vaccins présentent un rapport bénéfice/risque très largement favorable.
La méthode proposée par le Docteur Hippocrate
Voici le message posté sur X du docteur Hyppocate :
« 1. Lorsque votre enfant aura atteint l’âge de la vaccination, allez voir votre médecin traitant et demandez-lui un BILAN DE SANTE de la Sécurité sociale (ou de la MSA) qui attestera que votre enfant est APTE à recevoir les 11/15 vaccins.
Dites bien que vous n’êtes pas opposés à cette vaccination mais que du fait que votre enfant présente certaines fragilités, vous voulez cet examen de Santé afin de vous rassurer et pour ne pas nuire à la santé fragile de votre enfant par manque de prévoyance.
Rappel : l’Examen Préalable de Santé est inscrit dans la LOI VACCINALE et de fait EST OBLIGATOIRE AVANT TOUTE VACCINATION.
Voici le décret de Loi inclus dans la Loi des 11 vaccins qui OBLIGE à un examen préalable sur les patients
AVANT TOUTE VACCINATION :
2. Vous envoyez (ou votre médecin) cette demande à la Sécurité sociale (ou MSA) et dans l’attente, votre médecin vous fera un Certificat qui vous permettra de pouvoir mettre votre enfant dans une crèche ou à la maternelle.
Vous êtes couverts.
Si vous avez un médecin récalcitrant (qui vaccine parce que cela lui rapporte) CHANGEZ-EN.
3. Demandez à la Sécurité sociale (ou à la MSA) de vous faire, suite aux examens qui seront réalisés sur votre enfant, une attestation de leur part qui stipulera l’autorisation de vaccination qui sera signée par un RESPONSABLE qui reconnaîtra que votre enfant n’aura pas à souffrir d’une santé détériorée suite aux vaccinations.
Vous attendrez longtemps !
L’Attestation signée de la Sécurité sociale ou de la MSA est primordiale à demander car ce sont deux ORGANISMES D’ÉTAT, ce même État qui impose la vaccination.
Des parents l’ont fait dans le sud de la France, les médecins ont fait des certificats qui ont été présentés dans les crèches, dans les maternelles, les enfants ont été pris et, bizarrement, la Sécurité sociale et la MSA n’ont pas donné encore à ce jour une suite logique et ce depuis début janvier 2018.
Votre médecin vous renouvèlera le certificat médical de votre enfant autant de fois que la Sécurité sociale ou la MSA seront connectés aux Abonnés Absents.
Vous l’aurez tous compris, les Bilans de Santé sont Gratuits mais coûtent très chers !
C’est pourquoi la Sécurité sociale et la MSA donnent rarement suite.
Votre enfant pourra gravir les échelons de sa scolarité sans avoir à souffrir d’aluminium* et autres adjuvants dans ses veines, certificat de votre médecin traitant toujours à l’appui.
*L’aluminium, une fois dans le sang, migre directement dans le cerveau et y pénètre profondément.
Ceci est le SEUL MOYEN LÉGAL pour éviter ces injections abusives imposées.
ATTENTION : des vaccins peuvent être faits à la maternité, sans prévenir, pendant que le bébé est retiré à la mère pour la nuit…
Ce que dit la loi
En France, depuis le 1er janvier 2018, la loi impose 11 vaccinations obligatoires pour les enfants nés à partir de cette date, comme condition d’admission en collectivité (crèche, école, garderie, colonie, etc.).
Le texte de référence : article L.3111-2 du Code de la santé publique (modifié par la loi du 30 décembre 2017).
Cas particuliers prévus par la loi
- Contre-indication médicale reconnue : un médecin peut délivrer un certificat de contre-indication (ex. allergie grave confirmée, déficit immunitaire sévère, réaction à une précédente injection).
Ce certificat est valable et permet de justifier l’absence de vaccination. - Certificat “provisoire” : un médecin peut attester qu’un enfant est en cours de mise à jour vaccinale ou qu’un report est nécessaire pour raison médicale temporaire.
Cela accorde un délai, mais ne supprime pas l’obligation.
En pratique
- Les parents doivent fournir soit le carnet de vaccination (avec les vaccins exigés), soit un certificat médical officiel de contre-indication, soit un certificat de mise à jour en cours.
- Un simple “bilan de santé” ou une demande auprès de la Sécurité sociale ne dispense pas légalement de la vaccination obligatoire.
- La crèche ou l’école n’a pas le droit d’accepter durablement un enfant sans preuve de vaccination ou certificat de contre-indication valide.
Conclusion
Un certificat médical temporaire peut seulement reporter ou justifier un délai, mais il ne dispense pas de l’obligation elle-même.
La seule exemption légale et définitive est la contre-indication médicale dûment établie.